La rue St-Denis

La rue Saint denis s'étandais de pratiquement tout son long au centre de l'endroit. Le sol était quelque peu humide par endroit, le ciel était sombre et l'électricité coupé. Si on se promenait dans le ruelle on aboutissait nullepart ou presque pour le moemnt, et les bâtisse, les café et magasin semblait être coupé. Ainsi, seulement des facades de bâtiments abandonné restaient.

Raphael ouvrit les yeux, la main plier comme s'il tenait toujours le couteau de cuisine à la main avec un air un peu amusé.
Mais que?
Les mains vides, il fut quelque peu surpis de sa situation physique: debout, pieds nus dans se décor, il se demandait ce que les esprits de son sous-sol cherchaient à le faire voir et comprendre.
C'est surement méthaphorique... pensa t-il en tournant sur lui même. Oui, ça tire sur le rêve...
Il remarqua alors une grande horloge sur un bien trop grand gratte-ciel. Il était comme ça, oui: du genre à remarquer l'horloge avant l'immeuble...
Allons s'y...
Alors, convaincue de cette métaphore, il avança doucement sur Saint-Denis, passant le théathre juste pour rire qui semblait des plus triste.

*Morclock*

Dans la rue, suite au passage de Raphael, un homme marche en gémissant d'une voix grave... C'est clairement un mort-vivant.

Au beau milieu de la rue, quelqu'un avait arrêté de courir, essoufflé. Nikki, la botte dans une flaque d'eau, fixait celle-ci, regardant des cercles se former autour de son pied alors qu'elle avait éclaboussé le sol autour d'elle. De l'eau. Par terre, dehors. Il y en avait partout. Jamais elle n'avait vu ça à l'extérieur d'un lieu humide, comme une caverne, et encore.

Voir sa conception du monde ébranlée en marchant dans une flaque d'eau. Plus poétique, tu meurs.

Évidemment, 'fallait que des zombies viennent gâcher ça. Relevant la tête, la guitariste aperçut une des créatures désignées par Elias avancer lentement dans la rue. Probablement vers elle, mais il semblait trop stupide pour avancer en ligne droite. Sans se faire prier, Nikki continua son chemin en direction des bâtiments, prête à loger une balle dans la tête d'une des créatures si elle approchait trop. Ça n'avait franchement pas l'air de les déranger, eux...

Les mort-vivants sont surtout près du Morclock; il y en a deux ou trois dans la rue qui semble suivre tout ce qui dégage de la chaleur et qui sent la chaire. D'ailleurs, depuis que Nikki est arriver dans la rue...

Deux zombie plus loin devant elle semble s'arrêter sur place et lentement se tourner vers elle. L'un deux semblent même renifler l'air pour son odeur.

Nikki peux mieux voir leurs visages et elle s'aperçoit vite qu'il ont encore l'air humain, bien qu'un peu fantomatiques. La choses la plus remarquable: c'est les viennes qui semble vertes foncées sous leur peau, leur membre qui semble pourrir, et cette faible lueur verte dans leur regard... Comme une lumière malsaine.

Les deux zombies qui semble l'avoir ressentit commence à avancer vers elle: à noter que l'édifice où tu semble te diriger semble aussi être leur lieu de provenance... (Mais il y a tout de même un chemin possible!)

Ayant déjà descendu des criminels désespérés et hautement armés tout en se mettant à couvert entre deux rafales de tirs, Nikki n'avait vraiment aucun mal à décharger vingt kilos de plomb dans la tête de ces crétins de morts-vivants. S'arrêtant pendant une seconde pour viser les deux zombies qui avançaient vers elle en titubant, elle fit sauter la boîte crânienne du premier par une balle très bien placée juste au centre du front pour ensuite passer devant le second, lui envoyant un bon coup de poing au visage au passage. Nikki, qui voulait économiser ses balles, pensa une seconde trop tard et s'était, fidèle à son habitude, jetée dans la mêlée sans réfléchir. Elle ne savait pas de quoi ces monstres étaient capables et, déjà, elle jouait des poings avec eux! Réflexe? Oui. Bon réflexe? Elle allait bientôt le savoir alors que son poing allait percuter le menton de la créature...

Son poing défonça la mâchoire du second zombie alors que la tête du premier finissait encore d'éclater.

Elle vue les dents se détacher de la mâchoire alors qu'elle effectuait un vole plané devant les yeux de Nikki. Ces zombies étaient faible... Mais leurs dents semblaient pointues, tranchantes.

Si Nikki prend le temps de tout achever sur son passage, elle à des chance de se faire mangé un morceaux, d'être infectée. Mais si elle fait le trajet rapidement: elle peu s'en sortir... Si une porte ouverte l'attend!

D'ailleurs, elle dois faire son choix vite: les zombie sont attiré par sa chaleur...

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À la fin de ton prochain post, prend en compte ceci...
Le Morclock s'illumine au bout de la rue... -->Voir Événements

En sentant ses jointures s'enfoncer dans la mâchoire du mort-vivant, Nikki se rappela que ceux-ci n'avaient rien à voir avec des humains. Ils ne réagissaient pas comme eux, ne se déplaçaient pas comme eux et, surtout, n'avaient pas du tout la même texture quand on cognait dedans. C'était très différent et un peu destabilisant. Au moins, il était à terre, aussi à terre qu'un zombie peut être.

Sans s'arrêter, elle continua de courir jusqu'à l'hôtel, qui commençait progressivement à s'illuminer. La guitariste ne se posa pas de questions, pensant que ce devait être Elias ou quelqu'un d'autre qui lui faisait signe de se rendre ici. Les lumières rendirent d'autres zombies visibles, mais heureusement, au cun d'entre eux ne semblait capable d'approcher de celles-ci. La jeune femme s'y rendit. Si c'était un piège, elle avait bien son arme de toute façon...

[Vers l'hôtel du Morclock...]

Alors que tu t'élance vers l'hotel du Morclock, des petits papillons de lumière semble tombé sur toi gentiment avant de s'éteindre sur ta peau en éclatant comme de la fumée. À chaque fois, un parfum de framboise semble s'en échapper.

Les petits papillons semblent venir du 3e ou 4e étage de l'hotel, de la porte principale... Ou plus précisément, d'un jeune homme dans l'entrée de l'hotel...

(HJ:Tu peu le prendre en considération dans ton prochain post même si tu n'est plus ici...)

Alors que Sarah sortait de son dojo une voix commence lentement a lui parler, semblant venir de partout a la fois comme si elle etait en elle, une voix masculine et reconfortante.

"Bonjour Madame Laforet. Je me nomme Elias et je suis la pour vous aider, je ne sais pas ou nous sommes exactement mais j'ai etabli un endroit securitaire dans le seul Batiment que vous pouvez voir avec de l'electricité. Si vous venez m'y rejoindre je pourrai peu etre vous expliquer d'avantage ce qui ce passe ou au moins tenter de le comprendre avec vous. Mais faites vite, vous n'etes pas seule et un grand danger pese sur vous si vous restez ou vous etes, faites vite et venez me rejoindre."

"Bonjour Madame Laforet. Je me nomme Elias et je suis la pour vous aider, je ne sais pas ou nous sommes exactement mais j'ai etabli un endroit securitaire dans le seul Batiment que vous pouvez voir avec de l'electricité. Si vous venez m'y rejoindre je pourrai peu etre vous expliquer d'avantage ce qui ce passe ou au moins tenter de le comprendre avec vous. Mais faites vite, vous n'etes pas seule et un grand danger pese sur vous si vous restez ou vous etes, faites vite et venez me rejoindre."

Je suppose que je suis donc encore endormie pense t-elle en se dirigeant donc vers le grand batiment éclairé (le seul des environs) qui domine de toute sa hauteur la rue désormais vide...ou presque. C'est à ce moment qu'elle aperçoit, alors qu'elle marche, la présence de... de...

HIIIIIII un zombie!!!

Pris de panique, mais bien entrainée, Sarah sors les 2 bokens croisés dans son dos et fracasse les clavicules du dit ''zombie'' avant de courir jusqu'à la ruelle la plus proche...

J'espère au moins que c'est pas coupé comme le Dojo!

Elle espère aussi se caché des morts-vivants, parce que son cris semble en avoir alerté plus d'un...
Mais au moment ou elle atteint l'ombre du mur, elle se retrouve derrière le poteau de lumière.
Que c'est-il passé?
Elle prend le temps d'analyser la situation et découvre qu'elle est passée ''à travers'' l'ombre du mur pour se retrouver dans celle du poteau!
Le monde des rêves peut parfois être si étrange...C'est comme si le ... zombie... les zombies... m'avait perdu de vue... il retrournent.. vers l'édifice?

Et moi je suis invisible... souffla t-elle...

Bien sur; il ma entendue et se dirige lentement vers moi, il ne m'en faut pas plus pour utiliser ce pouvoir et accélérer mon chemin vers le bâtiment.



À mi-chemin entre son point de départ et le grand bâtiment elle croise une autre fille, les cheveux rouge/rose, se dirigeant vers le même endroit. hum...Je vais la suivre, mais je vais garder mes distances, à moins que... Elle se place dans l'ombre de Nikki et continue son chemin, elle ne semble pas s'apercevoir de la présence de Sarah.

*Ombre de Nikki*

La voix repris dans l'esprit d'alex:


"Vous vous amusez bien? Si vous voulez entrer la porte est ouverte, la moto devrait passer. Il y a quelques personnes presente et je vais vous y rejoindre, et en passant, les autres ne sont pas aggressif ni dangereux alors ne tirez pas!"

Snow se retrouva de l'autre coté de la rue plus rapidement qu'elle ne l'aurait cru. Elle avait la tête qui tournait un peu alors que ses pensées s'entre choquait entre elles et sa panique intérieur lui donnait l'envie soudaine de pleuré comme une enfant. Elle avait cru entendre Jester... apès avoir reprit un peu de contenance, Snow avança d'un pas incertain en direction du manoir puis se ravisa. Elle n'avait vu personne... Est-ce que c,est un autre teste? Un teste à faire individuellement?¨Ça n'a aucun sense...Je croyais qu'on avait fini avec toute ces épreuves! J'en ai juste marre!!!!
-Vous entendez!!!???? J'en ai ma claque!!! cria-t-elle vers le manoir.

Elle se frotta les bras rapidement, comme pour faire disparaitre l'impression de brûlure qui perssitait encore. Elle chercha ensuite dans son sac son paquet de cigaette et son briquet. Nerveusement, elle en alluma une et commença à taper du pied en regardant d'un coté puis de l'autre. Bon, ça suffie...un moment donné y'a des criss de limites!

À l'autre bout de la rue, Snow Meredith entend des bruits... des pas?

Elle fait un tour sur elle-même et remarque le décor: Elle est sur la rue St-Denis, mais le manoir n'étais pas au centre ville! Encore plus étrange... à l'extrémité de la rue la plus proche d'elle, un désert semble occupé l'espace...
De l'autre côté, plus loin, il y a une forme de gratte-ciel qui dépasse toutes les autres bâtisse...

D'ailleurs, toutes les autres bâtisse ne sont que des façades... Sauf pour le théâtre St-Denis, pas trop loin, dans la direction du gratte-ciel... qui semble avoir un toi et des murs, bien que le tout semble en piètre état...

Lorsqu'elle regarde du côté du désert, Snow à les yeux qui picote. Mais lorsqu'elle regarde vers le gratte-ciel, elle peu voir des forme humaine, des ombres, dans la rue, au loin. Elle entend leur pas en écho dans la rue, mais elle ne discerne pas qui ils sont encore...

La frustration qu'éprouvait la vampire se transforma vite en lassitude et sa nervosité en calme plat. Snow n'était plus qu'intrigé par tout ce ridicule! Le manoir n'avait jamais été sur St-Denis...et cette rue là n'aboutissait surtout pas sur une sorte de désert bizarroïde!

Est-ce que j'peux encore rêver moi? Parce que si oui, c'est l'rêve le plus fucker qu'j'ai jamais fais!

Encore avec sa cigarette entre son index et majeur droit, elle se gratta le front, avec le pouce, entre les deux yeux en pousant un soupir interminable. Dans ce geste, elle prit le plus grand soin pour ne pas se regarder...voir le sang sec sur ses mains l'incommodait... Détournant ses yeux avec soulagement du désert qu'elle se forçait à regarder, elle retourna sur le gratte-ciel d'ou semblait provenir les bruits de pas. De sa main libre, elle se frotta les yeux un peu douloureux avant de prendre un bouffé de fumer.

Ouais...mettons que cette direction là est bien plus accueillante!

Elle se mit donc à marcher lentement vers le gratte-ciel illuminé. Que pouvait-elle faire d'autre?

Plus Snow avance vers le gratte-ciel, plus elle vois les détails: devant elle, au bout de la rue, l'hôtel du Morclock trône gracieusement... Mais dans la rue, les gens qui y marche... ils semblent y errer...

Par contre, même si elle s'approche d'eux, les morts-vivants qui tournent autour du Morclock ne semble pas trop lui porter attention...
Après tout, elle ne dégage pas de chaleur et ne fait pas vraiment de bruit... pour le moment.

Note: Le mort-vivants ne peuvent s'approcher à plus de 10m de l'hôtel à cause d'un champ de force... Mais Snow aussi à de la misère à s'approcher une fois qu'elle sera rende très proche... Elle pourra passer le champ de force, mais elle le sentira qui la repousse un peu...

Alors que la jeune (et morte) femme avançait vers la tour, qui devenait de plus en plus suspecte, elle pu voir l'état navrant des personnes de la place.

-Mouais...on est plus dans ''mon'' Montréal, ça c'est clair! dit-elle tout bas, pour elle-même.

Elle jetta sa cigarette et l'écrasa avec sa bottes, plus par habitude que par nécessité. Snow avait retrouver son aplomb, du moins en apparence. Essayant de cerné un peu plus les gens du coin, Snow avança la tête en plisant les yeux. Puis les trouvant trop louche pour avancer, elle conclut que la meilleur décision était de se renseigné de loin.

-Bon...je vais être fixer, se dit-elle avant de mettre ses mains de chaque coté de sa bouche, HEY!!! Vous autre là-bas! Amis ou ennemis???

Au moment ou Snow cria, deux ou trois zombies tournèrent leur tête dans sa direction en bavant doucement. Un d'entre eux, peut-être un plus... "brave"? Commença à s'avancer lentement, à taton, comme s'il avançait à l'aveuglette...

Plus ils s'approchait, plus Snow Meredith l'entendait râler... plus elle le voyait clair...
Ils étais, ou c'était... une femme ou un homme? Qui sait? Dans tout les cas, C,étais humain, mais maintenant, la chair pourrissait, les yeux avait une lueur verte radioactive, la peau tombait par endroit... mais surtout... l'odeur!

La puanteur arriva rapidement au nez de Snow, bien avant le zombie lui même... Mais le zombie suivit de peu, en avançant lentement...
Bientôt, deux autres suivraient...

Et après, qui sait? Les 12 autres autour du Morclock?

Snow eut un visage très, très sceptique. Puis, après les râles, l'odeur et tout le reste, elle se dit que c'était juste des zombies...

-Mouais...c'était peut-etre pas la meilleur des idées que j'ai eue...se dit-elle, comme pour confirmé encore plus la stupidité du geste.

Quand le premier zombies fut assez près d'elle pour l'attaquer, elle esquiva, sortie rapidement son couteau de poche de son sac et l'enfonça dans le crâne du mort-vivant en déséquilibre. Elle se retourna vivement, après s'être assuré que le truc mort l'était bel et bien pour de bon, et vu deux autres zombies...et d'autre plus loin dont Snow ne voyait que la silhouette.Faudrait que j'me pousse moi...mais par ou? Devant y'a que des morts qui pu vraiment la merde et derrière y'a le désert...Par en avant. C'est déjà moins suicidaire!
Snow Meredith prit une grande inspriration avant de foncé vers le Morclock. Esquivé les zombies fut presque un jeu d'enfant vu leur lenteur à réagir et sa nouvelle rapidité dont la vampire n'avait pas encore prit conscience.

*Ruelle -au pied du Morclock*

DD n'a pas ouvert les yeux qu'elle ressent la puanteur qui émane des zombies plus loin. Son premier réflexe est de s'empêcher de vomir, même si l'odeur semble plus qu'intense en cet endroit. Elle se bouche le nez et se met à respirer tant mieux que mal par la bouche, sans trop savoir ce qu'il y a aux alentours. Elle finit par ouvrir les yeux après un moment de réflexion: a-t-elle vraiment rêvé tout ce... blanc? Confuse, elle cesse de pincer son nez, à tort: l'odeur de putréfaction revient à la charge et la fait vomir sans crier gare. Les larmes aux yeux, elle tente tant bien que mal d'essuyer le coin de sa bouche avant de couvrir son visage à l'aide de son coude pour bloquer l'odeur. Elle voit alors ce qui l'entour: ces monstres de pourriture, à peine en vie, qui se balade devant elle.

Comment? Dis-moi pas que 2012 est arrivé? Yé où le guide de survie contre les zombies quand on en a RÉELLEMENT besoin!?

Regrettant son choix de n'avoir jamais acheté le damné livre, la réalité la rattrape: elle est pétrifiée devant toute cette putréfaction! Prise sur place, incapable de bouger, elle commence tranquillement à paniquer et à respirer de plus en plus vite. Elle regarde autour d'elle, cherche une porte ou un endroit où se cacher.

Quentin vient tout juste de sortir de la ruelle menant au jardin et il observe les environs. La rue déserte aux façades lugubres lui inspirent une légère inquiétude. Il aperçoit au loin une immense horloge sur la façade d'un édifice encore plus immense.

Londres?

Il entend un grand bruit venant de la direction opposée de "Big Ben" qui lui glace le sang. Il reconnait le bruit du tonerre et se rappelle les nuits de tempête et d'insomnie de son enfance, durant lesquelles il finissait par aller réveiller sa mère pour qu'elle vienne le rejoindre dans son lit...

Ce serait peut-être bien que je l'appelle pour lui dire où est-ce que j'suis, elle pourrait s'inquiéter...

Lorsqu'un second coup de tonerre se fait entendre, Quentin voit en même temps un éclair tomber à l'autre bout de la grande rue. Dans l'obscurité qui s'ensuit il n'arrive pas à discerner ce qui se trouve à cet endroit. Il décide de marcher vers la grande tour, pour être le plus loin possible de l'orage.


Il fait tout sombre, ça sent mauvais, c'est triste comme endroit...

Il lève la tête et regarde les constructions autour de lui. Il avance en ne portant pas attention à ce qu'il y a devant lui et il marche dans une flaque d'eau assez profonde.

Aw... Et maintenant j'ai les pieds mouillés...

J'vais jusqu'au bout de la rue, et si ya personne, je retourne dans le jardin...

Quentin finit par distinguer des silhouettes à une bonne distance. À mesure qu'il s'approche et les discerne mieux, il constate qu'elles ne lui sont pas familières.

J'pense pas que je les connais... Je sais pas s'ils vont vouloir m'aider.

Il s'approche encore un peu plus, en essayant de respirer seulement par la bouche à cause d'une odeur horrible provenant d'une source inconnue, et deux êtres remarquent sa présence et se retournent.

Quentin reste figé un instant, ne sachant pas comment s'adresser à eux et étant trop préoccupé par leur aspect repoussant pour penser normalement.

Dans la rue près du MorClock, DD commence à paniquer en voyant les mort-vivants devant elle. Elle est figer sur place, et heureusement pour elle, les quelques zombies les plus prêt d'elle ne semble toujours pas l'avoir remarqué.

Par contre, alors que Quentin s'approche du bout de la rue, ses pas résonne sur le sol froid et dans les flaques d'eau...

C'est à ce moment que les deux ou trois zombies les plus près de DD et Quentin se retourne vers le jeune homme blond... C'est aussi à ce moment que Quentin remarque la présence de DD, une femme qui semble bien plus vivante que les autres silhouettes qui commence d'ailleurs à marcher vers lui et vers DD elle-même.

(HJ: présent dans la rue: quelques zombie, au nombre de 10 ou 12, près du champ de force du Morclock... Un peu plus loin, 2 ou 3 autres zombie près de DD, et un peu plus loin, Quentin qui a attiré l'attention des 2 ou 3 zombie les plus proche)

Alors que les créatures se rapprochent de Quentin, celui-ci réalise ce qu'elles ont de différent des autres humains : elles semblent avoir été blessées ou déformées par une maladie quelconque, peut-être même qu'elles sont en train de se décomposer. À entendre les grognements et les plaintes sourdes qu'elles font, elles ont l'air de souffrir à cause de leur état. Au fond, elles appellent peut-être à l'aide, mais leurs mots sont étouffés et distordus à cause de la souffrance.

Hey, y'en a qui sont blessés?

Oh mon dieu, oh mon dieu, qu'est-ce que je fais? Si y'en a un qui a besoin d'être soigné... Je me souviens plus de mon cours de RCR... Il te servait à quoi ton certificat de gardien averti si t'as jamais gardé d'enfants, et encore moins eu l'occasion de pratiquer des premiers soins sur eux? Oh mon dieu, t'es un crétin Quentin, tu sais même pas où se trouve l'hôpital le plus proche.

Ok, au pire garde ton calme et regarde, y a toujours quelqu'un qui s'y connait plus que les autres dans ces affaires-là... Genre le gars qui a tassé les pupitres et qui a couché Marie-France par terre quand elle a fait une crise d'épilepsie en classe... Ouais, quelqu'un va prendre le choses en main, là... maintenant.

Mais alors que personne ne semble se présenter pour diriger les opérations et que l'inquiétude s'empare de plus en plus de Quentin, les silhouettes se rapprochent et il commence à reculer.

Écoutez... J'sais pas il est où l'hôpital, mais j'peux vous y conduire si vous voulez, juste... restez un peu plus loin, vous sentez vraiment mauvais...

Quelque chose au fond des yeux de ces humanoïdes, une lueur peut-être, dégage un désir malsain qui lui fait instinctivement comprendre que ces créatures lui veulent du mal. C'est comme dans ses pires cauchemars : il ne sais jamais exactement comment les monstres comptent le faire souffrir, mais il sait dès le premier instant qu'il doit leur échapper.

Qu'est-ce que maman disait... il faut pas parler aux inconnus.

Il essait de garder une bonne distance entre lui et les cadavres ambulants, ce qui le force à accélérer le pas. Il tourne en rond. La tension monte d'un cran, et Quentin pense à les menacer en levant devant lui la serpe qu'il avait encore dans les mains.

Approchez pas! J'peux couper des branches avec ça, attention!

Il continue de reculer. Ses paroles n'ont eu aucun effet.

J'niaise pas là! J'suis sériiieux!

Lorsque Quentin se retrouve près de la jeune fille assise par terre, il remarque d'autres monstres qui s'approchent et qui la fixent elle particulièrement. Elle a l'air paniquée. Elle a même vomi par terre, et il a mis les pieds dedans.

Il se retourne pour s'adresser aux créatures affreuses derrière lui.

Hey! Laissez-la tranquille elle aussi!

Une voix perce sa panique, une voix de jeune homme. Elle tourne sa tête pour apercevoir Quentin, qui lui, est bien vivant. Elle se relève rapidement et maladroitement et se lance vers lui:

Fais attention! C'est des zombies! Ils vont te bouffer le cerveau! Cours, COURS!

Tant bien que mal, elle cours en sa direction, le prend par la main, et tente de l'emmener loin du MorClock et de ses environs.